Un collectif VTC est apparu à l’Hotel de Ville pour manifester contre le droit de pouvoir circuler rue de Rivoli.
José exprime sa colère et explique
« C’est du clientélisme envers les taxis. On n'est pas des voyous car beaucoup de gens nous associent directement à Uber. Mais Uber est une plateforme et un chauffeur VTC est un métier. Moi, je paie aussi une licence d'Etat et je n'ai pas le droit circuler ! OK, on n'a pas de compteur, mais on fait le même métier que nos amis taxis. Et actuellement, on est tous logés à la même enseigne après la crise du Covid-19. »
De nouvelles actions ?
L’adjoint en charge des transports, de la voirie, des déplacements et de l'espace public, Christophe Najdovski a écouté ces interpellations. L’élu est resté sur sa position en affirmant « qu’il n'y a ni discrimination des VTC, ni favoritisme des taxis ». Après son passage sur BFM Paris, Anne Hidalgo, a approuvé « qu'il faut privilégier les taxis parce qu'ils font partie du service public des transports » dans la capitale.